J’ai testé pour vous… La 13e édition du marathon de la forme s'est déroulé lundi 25 mars. Événement très attendu chaque année par de nombreux pratiquants du Service des sports (Suaps), cette édition s'est une nouvelle fois ouverte aux pratiques sportives avec deux lieux, deux ambiances : bien-être (pilates, yoga, feldenkrais, sophrologie…), au Centre sportif universitaire, et fitness, à la Halle des sports. Le Suaps a repris l’organisation du marathon cette année, en alternance un an sur deux avec les étudiants du Deust Métiers de la forme (Faculté des sciences du sport).
Habituée de longue date des cours de fitness au Suaps, cela fait maintenant plusieurs années que je participe au marathon dans sa version fitness.
Six cours de 45 min sont proposés, une séance de stretching d’une demie-heure clôturant la soirée. Nouveautés cette année : un marathon plus long – de 17 h 30 à 22 h 30 – et un espace collation à disposition.
J’arrive un peu en avance pour assister au premier cours : de la Zumba, pratique d’origine colombienne mélangeant aérobic et fitness, sur des rythmes et des chorégraphies inspirées des danses latines. Bien que la coordination entre bras et jambes n’ait jamais été mon fort, je maîtrise, ayant déjà pratiqué cette activité par le passé et connaissant l’intervenante, Joëlle, vacataire depuis l’année dernière au Suaps.
Chocolat et cuisses/abdos/fessiers
La foule s’étoffe et une amie me rejoint lorsque Julien, le prof « beau gosse » de la soirée, blessé au genou mais en forme, fait son entrée pour nous faire une préparation physique de boxe. « On va alterner des séries d’exercices de cinq minutes : on commence avec dix pompes, vingt fentes*, dix burpees* et vingt mountain climbers* ! » Le début se passe bien, jusqu’à ce que je me rende compte que trente secondes de pause entre chaque série, ça passe vite ! Il y a aussi des moments où il faut courir, activité que j’ai en horreur, ne réussissant pas à gérer mon souffle. J’arrive à tenir le rythme tant bien que mal. Je me sens même rassurée quand, vers la fin, je remarque que les deux étudiants-assistants de Julien peinent également.